Couplez la cytologie et l’histologie, c’est une combinaison gagnante !

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• Pensez à coupler la cytologie et l’histologie quand cela est possible, car elles se complètent utilement :
  • la première fournissant les détails morphologiques à l’échelon cellulaire,
  • la deuxième l’indispensable architecture tissulaire, le mode de croissance de la lésion ainsi que ses marges.
• Dans bien des cas, cette combinaison apporte au pathologiste le diagnostic définitif de la lésion prélevée (et peut même éviter le recours à des techniques plus sophistiquées et coûteuses comme l’immunohistochimie).
• La cytologie permet souvent une analyse plus fine et détaillée à l’échelon cellulaire :
  • comme la mise en évidence de granulations cytoplasmiques parfois invisibles ou difficiles à appréhender à l’Histologie
  • ou comme l’étude plus approfondie des anomalies nucléaires et cytoplasmiques (la cytologie est indispensable au typage des lymphomes par exemple).

Y penser notamment pour l’étude de :

• Toute adénopathie isolée ou généralisée
• Toute masse cutanée ou sous-cutanée
• Toute masse buccale
• Toute suspicion de lésion infiltrante de l’intestin chez le chat
• Mais également pour toute lésion des organes internes.